-Enfin une bonne nouvelle concernant la circulation des véhicules âgés .

damien a écrit:

qu'on laisse la selection "naturelle" éliminer doucement les thermiques pour tous les jours quand c'est possible et garder notre patrimoine d'anciennes

In fine c'est comme ça que ça va se passer. Nos anciennes n'auront pas de soucis. Les autres ? hum à voir pour les plus polluantes

Bonsoir,
Certainement l'électrique ,actuellement n'est pas en état de remplacer les thermiques...
je suis en catégorie 3 j'espère pouvoir utiliser longtemps ma 350 essence ...
Sinon des solutions existent avec l'ethanol ou le gpl , mais cela demande un certain investissement , mais si l' état met la main a la poche ... ???
Le gpl apporte des solutions intéressantes et évite de mettre au rebut des autos dignes d'intérêt !!!

vu le raisonnement de nos dirigeants imposer et augmenter des taxes a tour de bras sur les anciennes ainsi que les produits de consommations courant difficile de changer de cap ils continueront a vouloir faire payer les petites gens au détriment de toute logique
car les carburants propres a petit prix  existent


(simple avis)

On a traité la pauvreté , la vrai , la fausse , la qui pue, et celle qui sent bon ...et le discours des nationalistes et les mondialisés , mais revenons au sujet , l écologie , ou en raccourcie , a la planète ....sans l homme semble une bonne option

sujet nettoyé !

No comment

disons que quand ça part en insultes c'est ni bon pour le forum ni intéressant pour les membres ils viennent pas sur un forum Mercedes pour y lire ces conneries , et les interessés n'en sortent pas grandis....

et de ce que j'ai viré ya rien de transcendant ni d'intéressant donc....  

 

enfin ça y est ils prennent conscience que il y a un risque d'explosion :

Microsoft actualités a écrit:

Interdiction des voitures essence, diesel: attention au coût politico-social explosif!
Alain-Gabriel Verdevoye

EDITO - En menaçant, proscrivant, taxant, restreignant les utilisations des véhicules de Monsieur et Madame Toulemonde , les politiques et Bruxelles jouent avec le feu. Le gouvernement français est conscient des risques de révoltes du type Gilets jaunes.
Interdiction à la vente des voitures non électriques en 2035. Et, d’ici là, hausse du prix des carburants à travers les quotas de carbone étendus au transport routier (mais aussi au chauffage des bâtiments) ! Voilà le rêve (ou cauchemar) vert de la Commission européenne dévoilé le 14 juillet. Si la Commission est l’émanation des gouvernements de l’Union, elle n’est certes pas le Conseil, qui, lui, représente directement les Etats. Or, c’est ce dernier qui prendra les décisions finales théoriquement en octobre, plus prosaïquement d’ici à la fin de l’année. Tout n’est donc pas encore joué ! Paris pourrait proposer notamment, comme Berlin, d’étendre la notion de véhicules électriques… aux hybrides rechargeables ! "Il y a une volonté forte de garder les hybrides rechargeables à horizon 2035", soulignait en effet un conseiller de l’Elysée lundi. Le gouvernement français pourrait aussi émettre des réserves sur l’extension pleine et entière des quotas de carbone au transport routier.

Paris s’aligne sur les propositions maximalistes
Mais constructeurs et automobilistes ne doivent se faire aucune illusion. Paris s’est toujours plutôt aligné sur les propositions maximalistes. Et, quand l’Union européenne avait décidé en 2019 d'une baisse drastique des émissions de CO2 des voitures neuves de 37,5 % entre 2021 et 2030, le Conseil avait en fait durci les propositions de la Commission, qui proposait -30% ! Et ce, malgré la défense du secteur automobile à l’époque par la chancelière allemande Angela Merkel.

Peu de chance que la donne soit fondamentalement changée. "Interdire une technologie n'est pas une solution rationnelle à ce stade", a certes dénoncé mercredi l'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA). L'organisation estime que "toutes les options, y compris les moteurs thermiques très efficaces, les hybrides et les véhicules à hydrogène doivent jouer un rôle dans la transition vers la neutralité climatique". Le projet de la Commission n’interdit pas expressément les modèles à essence, diesel ou hybrides. Mais, en proposant mercredi de réduire à zéro les émissions de CO2 des voitures neuves dans l'Union à partir de 2035, Bruxelles n'envisage plus de facto que la seule utilisation des modèles électriques censés être les plus vertueux. Et ce, sans en compte, étrangement, les émissions totales, dites du puits à la roue, c’est-à-dire en incluant l’extraction des métaux rares, leur acheminement, la fabrication des batteries, le type d'énergie pour les produire, leur transport… jusqu’à leur destruction ou recyclage final. Dans ce cas, les électriques parés de toutes les vertus écologiques sont en effets très loin d'être zéro émission.

Lire aussiLes usines auto neutres en carbone, ça n'existe pas

Pour satisfaire aux exigences européennes émises mercredi, les "modèles électriques ou hybrides rechargeables devront donc représenter au minimum 50% des ventes" dès 2030, souligne Gilles Le Borgne, directeur de l'ingénierie de Renault. Le Bipe, qui modélise les futures hypothèses sur le nombre de véhicules électrifiés pour répondre à ces objectifs, estime qu’on pourrait aller "jusqu’à 50% de véhicules électriques" dès la fin de la décennie.

100.000 emplois en jeu dans l'Hexagone

Les représentants de la filière automobile française avaient justement rencontré Emmanuel Macron lundi 12 juillet. Pour expliquer au président de la République les enjeux et les risques d'une telle fuite en avant. Les industriels estiment en effet que les investissements nécessaires pour accompagner la mutation seront considérables. La Plateforme automobile française les estime à un total de 17,5 milliards d’euros d’ici à 2025, dont 6,5 milliards rien que pour produire des batteries en France, 8,5 milliards pour installer des bornes électriques – celles-ci ne seront pas toutefois installées par les industriels de l’automobile. L'Elysée s'est d'ailleurs engagé à annoncer un plan de soutien à la rentrée, sans autres précisions. Il est vrai que "la filière auto française pourrait perdre 32.000 emplois d’ici à 2025, 100.00 d’ici à 2035", selon Luc Chatel, président de la Plateforme.

Pourquoi l'électrification affecterait-elle autant l'emploi ? C'est clair : une voiture électrique est plus simple. Mais, surtout, le savoir-faire est essentiellement localisé en... Asie d'où viennent toutes les batteries automobiles aujourd'hui, lesquelles constituent de 30 à 40% de la valeur ajoutée d'une voiture. "L’Europe a fait le choix de la seule solution électrique, en tirant un trait sur cent ans d’innovation technique. On repart donc à zéro sur une technologie dans laquelle les Chinois ont dix ans d’avance", avertit Luc Chatel. Si la production de voitures s’est déjà effondrée de 65% en France en 2020 par rapport à son pic historique de 2004, la France demeurait au moins jusqu’ici encore un très important fabricant de moteurs, 3 à 4 millions d’unités annuelles. Elle était notamment le deuxième mondial pour les diesels. Chez PSA (Stellantis), tous les moteurs destinés au Vieux continent (sauf ceux d’Opel) étaient ainsi jusqu’à présent réalisés en France. Mais la chute des ventes de versions thermiques sonne le glas de ces fabrications grosses consommatrices de main-d'œuvre, puisqu’elles emploient 50.000 personnes. "Il y va de la survie de notre industrie", lâche Luc Chatel.

Attention aux coûts pour les consommateurs !
Quant aux consommateurs, ils vont devoir affronter le surcoût de ces véhicules électriques, aux contraintes d’utilisation par ailleurs énormes (autonomie limitée, moitié moins qu’un diesel dans le meilleur des cas, temps de recharge d’une dizaine d’heures chez soi…). Un modèle électrique "restera plus cher qu’un véhicule thermique à horizon 2025-2030", expliquait dernièrement à Challenges Maxime Picat, directeur Europe de Stellantis. "Ca sera beaucoup plus cher qu’un véhicule à petit moteur à essence d’il y a dix ans” , renchérit Gilles Le Borgne, directeur de l’ingénierie de Renault, ajoutant : “C’est plusieurs milliers d’euros supplémentaires en coût de revient". Pas vraiment à la portée de tout le monde !

Aujourd’hui, une Peugeot 208 électrique est ainsi disponible à un tarif deux fois supérieur à celui de la version à essence la moins chère. La e 208 démarre à 32.700 euros. Un tarif dispendieux pour une citadine... On est au niveau d'un SUV compact à essence 3008, aux prestations autrement plus polyvalentes et familiales. Même différentiel pour une Renault Zoé par rapport à une Clio essence équivalente. Une Dacia Spring électrique, très limitée dans son utilisation, vaut aussi deux fois plus qu'une Sandero à essence plus grande et beaucoup plus routière.

Or, l’Etat diminue les bonus censés partiellement amortir les surcoûts. 7.000 euros (au maximum) de cadeau pour l’achat d’une voiture zéro émission ? C’est fini. Depuis le 1er juillet, c’est 6.000 pour un modèle de moins de 45.000 euros 2.000 (au lieu de 3.000) pour une électrique de 45.000 à 60.000 euros. Ça, c’est pour un particulier. Pour les sociétés, qui forment les gros bataillons d’acheteurs d’électriques, le bonus est redescendu de 5.000 à 4.000 euros. Et, dans six mois, le bonus pour les voitures électriques achetées par les particuliers sera encore réduit à 5.000 euros (véhicule de moins de 45.000 euros), 1.000 pour un modèle de 45 à 60.000 euros ! Dans le même temps, Bercy planche sur la taxation de la recharge électrique pour les véhicules. Les presque 40 milliards d’euros annuels tirés par l’Etat des taxes sur les carburants vont devoir être impérativement compensés !

Risques de révoltes sociales
En parallèle, le coût de ce qu'il restera de voitures essence et diesel, avant leur interdiction totale, va se renchérir. Car, les eurocrates travaillent sur des nouvelles normes d’anti-pollution Euro 7 sur les véhicules thermiques… applicables dès début janvier 2026. Euro 7 va ainsi "obliger à hybrider les véhicules thermiques" pour… réchauffer les moteurs". Euro 7 aura de très fortes exigences sur la dépollution à froid des véhicules. Cela entraînera de dispendieuses technologies. La facture dans tous les cas va donc s’alourdir terriblement pour les usagers de la route. D’où, paradoxalement, un vieillissement prévisible du parc automobile, les automobilistes gardant plus longtemps leur véhicule ou achetant une voiture d’occasion.

Luc Chatel constate déjà l’attentisme des Français en la matière. "Les clients pourraient se tourner massivement vers… le véhicule d’occasion,", reconnaît Gilles Le Borgne ! A moins que, dans leur zèle répressif, les politiques ne les interdisent de circulation, réduisant alors l’accès à la mobilité et la réservant aux plus riches. La Mairie de Paris n’interdit-elle pas déjà l’accès de la capitale aux véhicules trop âgés en annonçant par ailleurs la proscription des diesels dès 2024 ? Malgré une résistance initiale du Sénat, les parlementaires français sont en outre tombés d'accord cette semaine pour l'instauration dans chaque agglomération de plus de 150.000 habitants d’une ZFE-m. Ces “zones à faibles émissions mobilité" vont proscrire dès 2025 la circulation des véhicules âgés classée Crit’Air 3 ou plus... Soit quelque 13 millions de véhicules, 43 % du parc automobile français d’ici à 2025. Pour l'essentiel des véhicules appartenant aux catégories les plus démunies de la société.

Le gouvernement français est très conscient, officieusement, des risques de révolte sociale, genre Gilets jaunes, que toutes ces mesures pourraient générer. A trop vouloir interdire, taxer, réduire les déplacements, une explosion est possible, qui en outre pourrait favoriser la montée des partis populistes anti-système... L'association 40 millions d'automobilistes dénonce ce jeudi des "décisions hâtives et irresponsables, qui mettront en grande difficulté un pan très large de l'économie européenne et auront des conséquences dramatiques sur l'accès de nombreux citoyens à la mobilité".

Citation :

Le gpl apporte des solutions intéressantes et évite de mettre au rebut des autos dignes d'intérêt !!

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-justement ,mon épouse est sicilienne et là bas beaucoup d'autos roulent au GPL sans problèmes ,d'ailleurs il y a des stations qui ne vendent " que du GPL " , la transformation coute rien ,une galette à la place de la roue de secours et le branchement par un pro et le tour est joué ,mais chez nous on nous fait chier ,normes de sécu ,taxes ,frais exorbitants pour l'installation donc pas de rentabilité ...

Le gpl, seul moyen que j'ai trouvé sur Paris pour être tranquille sur les pics de pollution et le stationnement gratuit.

le seul hic est le nombre de station qui diminue...

Si on fait tourner un mazout avec 100% d'huile végétale, on est crit'air combien ?