ceci dit, il est assez navrant de constater qu'une partie de l'économie mondiale peut dépendre de quelques paires de miches, fussent elles appétissantes...
Il s'agit là d'un débat philosophique infiniment plus profond que le sillon
qui les sépare (les miches,pas les philosophes).Car si d'un côté on peut
déplorer leur influence (des miches,pas des philosophes,qui de toute façon
n'en ont plus depuis belle lurette),je me demande si d'un autre côté,
quelques unes,correctement offertes,ne nous éviteraient pas les pires
outrages que nous font subir certains politiciens qu'une vertu exacerbée
conduit inévitablement au manque.C'est ainsi qu'on peut de demander si
un Geoges Bush aussi convenablement épongé que son prédécesseur,eût
manifesté la même fantaisie dans ses manifestations guerrières...
droopy